
L'Espagne a proposé d'avancer dans la conservation de toute la zone naturelle marineen plus de développer durablement le Côte espagnol Et c'est pour eux qu'il est devenu Porte-drapeau engagé sur le chemin de la protection des océans.
Un engagement qui a été adopté dans le cadre de la célébration cette semaine Conférence des Nations Unies sur les océans (UNOC3) Cela jusqu'au vendredi se déroule dans la ville française de Nice.
En dehors de cette avance, du Miteco La carte routière de travail a été présentée qui visera à approuver les plans de gestion qui n'ont pas encore été approuvés dans les zones marines et les zones protégées. En ce sens, l'idée est Approuver plus de 40 à partir d'ici dans un an.
1. Désignation de nouvelles zones marines protégées
Les écologistes apprécient positivement l'annonce du président, Pedro Sánchez, pour augmenter la surface protégée de la mer espagnole jusqu'à ce qu'il soit supérieur à 25% qui avait pour objectif d'ici la fin de 2025.
L’annonce de protéger les nouvelles zones marines s’il n’est pas accompagné d’un engagement clair de gestion des terres qui interdit les activités destructrices, telles que la pêche à la traînée, à l’intérieur.



Actuellement, de nombreuses zones théoriquement protégées de notre pays sont exposées à des activités destructrices, bien qu'elles aient été désignées pour protéger les habitats et les espèces vulnérables.
2. Plans de gestion dans les zones marines protégées existantes
Les écologistes célèbrent la confirmation par le ministre de la Transition écologique et défi démographiqueSara Aagesen, que l'Espagne approuvera plus que 40 plans de gestion marine protégés en espagnol au cours des 12 prochains moiscoïncidant avec la fin de Le projet européen de Liffe Intemares.
Il est très important que ces plans de gestion interdisent explicitement la pêche destructrice, comme la traînée, de ces zones de grande valeur désignées pour protéger les habitats et les espèces vulnérables, comme l'ont déjà annoncé des pays comme la France, le Royaume-Uni, le Danemark et la Suède.
3. Clôture à la pêche commerciale et récréative chez les Cabliers (Mar de Alborán)
Les écologistes célèbrent que les mesures sont finalement prises pour protéger ce récif corallien de profondeur, un endroit unique en Méditerranée, où d'innombrables espèces considéraient.
Cabliers est également un habitat des jeunes et des joueurs des espèces de valeur de pêche dont le stock est actuellement surexploité. Nous espérons que les pays voisins, le Maroc et l'Algérie, démontrent le même engagement à protéger toute cette enclave dès que possible.
4. Protection stricte, le sujet en attente de Unoc3
Un sujet en attente qui a quitté UNOC3 est le manque de désignation de zones de protection strictes. L'Espagne doit mettre en œuvre de toute urgence des mesures afin que ses espaces marins protégés cessent d'être des parcs papier.
L'augmentation de la surface protégée strictement et l'élimination des arts de pêche destructrice est essentielle pour récupérer les habitats et les espèces, ainsi que pour augmenter la résilience des écosystèmes face à la crise climatique.
L'Espagne doit suivre la voie d'autres pays européens comme le Danemark, l'Allemagne, la Suède ou la France qui ont déjà promis d'atteindre une protection stricte de 10% dans ses eaux.
5. Déclaration générale sur l'exploitation sous-marine
Les écologistes ayant une satisfaction accueillent le nombre croissant de pays qui défendent un moratoire sur l'extraction des eaux profondes jusqu'à ce que des normes de précaution soient établies qui garantissent qu'elle peut être effectuée en toute sécurité et responsable.
Il est bon de voir que l'UE et de nombreux États membres assument un rôle de leadership dans ce numéro, y compris des pays comme la France et le Portugal, et que le nombre de pays qui soutiennent qu'il ne cesse de croître.
Cette approche préventive des activités humaines est ce que Droit international et aussi pour nous assurer de préserver et de reconstruire des océans sains pour les générations futures. Ecotics.com
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