
L'écotourisme promeut le tourisme responsable qui protège l'environnement, respecte les cultures locales et génère un emploi rural. L'impact minimum sur l'environnement et la nature, le respect des cultures traditionnels ou la génération de l'emploi local, sont quelques-uns des points qui différencient ce type de tourisme conventionnel.
L'écotourisme, tel qu'établi en 2002 lors du premier sommet mondial dans la Déclaration du Québec, doit remplir une série de conditions à considérer comme telles:
- Il doit contribuer à la conservation du patrimoine naturel et culturel.
- Il inclut les communautés locales dans leur approche et bien.
- Interpréter le patrimoine naturel et culturel.
- Optez pour les voyageurs indépendants et les petits groupes.
- Il est sensible en ce qui concerne la sphère politique, environnementale et sociale du destin.
- Optez pour des énergies renouvelables.
- Il améliore la participation locale pour générer de la richesse dans la population rurale.
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Des températures moyennes de plus de huit degrés et un risque élevé, très élevés ou extrêmes des incendies de forêt sont quelques-unes des conséquences du changement climatique, ce qui oblige l'écotourisme à se réinventer.


Une étude pilote préparée dans la région de Jiennsen de Sierra Magina met en évidence les répercussions du nouveau contexte climatique, avec une perte de biodiversité et le risque d'extinction des espèces endémiques du parc naturel; l'altération du paysage des montagnes; ou la condition au système de verger historique, selon les experts.
L'un des secteurs qui se concentre sur la réinventure est celui de l'écotourisme, qui souffre déjà du déplacement de la demande de températures croissantes dans les zones de montagne.


L'étude fait référence à la moindre attraction estivale et à la réduction des activités de plein air telles que des expériences de randonnée, des itinéraires de vélos, des compétitions sportives ou une organisation d'événements et de spectacles.
« Le secteur du tourisme doit parier sur une transition vers un modèle plus durable et résilient qui anime le développement économique et social de la région sans compromettre son précieux patrimoine naturel et culturel », explique le député de la promotion et du tourisme de Jaén, Francisco Javier Lozano.
Cette étude sert de base au guide préparé par le Diputación de Jaén avec lequel il a l'intention de contribuer au secteur du tourisme de Sierra Magina et d'autres régions rurales peut être mieux adaptée aux effets du changement climatique.
Parmi les alternatives proposées figurent l'installation d'avocats, de pergolas, de réseaux et de végétation sur les terrasses et les façades pour réduire le rayonnement solaire direct; Peintures thermiques sur les façades et les plafonds pour réduire l'absorption de chaleur; installation de plafonds verts comme isolants thermiques; ou même l'incorporation de boue, de pierre, de bois et de chaux dans la construction.
Il est également proposé d'incorporer des plantes de faible demande en eau, comme la lavande, le thym ou le romarin; ou l'utilisation de capteurs d'irrigation et d'humidité goutte à goutte dans le sol pour minimiser l'évaporation.
De plus, d'autres petits noyaux de l'environnement rural parient sur l'énergie photovoltaïque pour réduire leur facture énergétique.
C'est le cas de la ville d'Escañuela, qui a installé trois usines photovoltaïques dans les bâtiments publics; de Gueve, avec un système photovoltaïque dans son mairie et dans une résidence de seniors; de Torredonjimeno, qui parie sur la récupération de l'espace naturel des ravins; ou la création d'abris climatiques en plantant des arbres dans la municipalité de Marmolejo.
Le chef de l'environnement et le changement climatique de la Diputación de Jaén, Isabel Uceda, explique que « ce ne sont que quelques exemples de projets d'investissement visant à atténuer le changement climatique, à s'y adapter et à l'amélioration de la transition énergétique ».
Expériences de «l'écotourisme»
Le guide expose des expériences réussies que le secteur du tourisme met en œuvre pour atténuer le changement climatique dans d'autres régions rurales et parcs naturels.
Parmi eux, le Cantalar, un écoalojamiento rural qui a intégré la durabilité dans toutes ses opérations dans le parc naturel de Cazorla, Segura et Las Villas. En termes d'efficacité énergétique, l'hébergement optimise la consommation par isolation thermique naturelle, l'utilisation de l'éclairage LED et la réduction des dépenses électriques dans ses installations.
Dans le plan de restauration, la Macorina, à Cazorla, parie sur la durabilité et l'adaptation au changement climatique. Son engagement se reflète dans l'utilisation des matières premières locales et de l'Aove locale, réduisant l'empreinte carbone et soutenant les producteurs de la région.
À Iruela, l'hôtel spa Sierra de Cazorla bénéficie du système de biomasse complexe, qui utilise les os d'olive comme source d'énergie pour la climatisation et l'eau chaude, réduisant considérablement la consommation de combustibles fossiles.
En ce qui concerne les sociétés de tourisme actives, Adventures souligne, dans la Sierra de Segura, qui prévoit des itinéraires et des activités à faible impact, en évitant les domaines de sensibilité écologique spéciale et promouvant le respect de la flore et de la faune locales.
Adventure Cazorla aborde une stratégie dans la gestion durable des déchets. La société promeut la réduction des plastiques à usage unique, encourage le recyclage entre ses clients et intègre l'éducation environnementale dans leur offre, la conscience des participants sur l'importance de la conservation de l'environnement et de bonnes pratiques dans le tourisme naturel.
Le domaine de La Casona, situé à Pegalajar, dans la région de Sierra Magina, est un exemple d'adaptation au changement climatique par l'agriculture biologique.
Depuis 1998, il a la certification écologique des CAAe (Licence 6639), garantissant une culture sans produits chimiques qui favorise la biodiversité et la santé du sol. De plus, il intègre le bétail avec des moutons sûrs pour le contrôle naturel de la végétation et de la fertilisation. Efe / efe.com
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