Découverte incroyable : la planète Super Terre K2-18 b possède un océan et une atmosphère propices à la vie !

Laissez-moi vous parler de cette incroyable découverte ! Le télescope spatial James Webb a trouvé des preuves de molécules contenant du carbone, notamment du méthane et du dioxyde de carbone, dans l’atmosphère de la planète exoplanète K2-18 b, qui se trouve dans la zone habitable. C’est une découverte étonnante qui nous offre un tout nouveau point de vue sur une planète qui ne ressemble en rien à celles de notre propre système solaire. Et ce qui pourrait suggérer qu’il existe d’autres mondes habitables extraterrestres dans l’univers, n’est-ce pas incroyable ?

K2-18 b, qui pèse 8,6 fois la masse de la Terre, gravite autour de l’étoile naine fraîche K2-18, située à 120 années-lumière de notre planète dans la constellation du Lion. Sa position unique entre la taille de la Terre et de Neptune en fait un « sub-Neptune ». Les données de Webb suggèrent que K2-18 b pourrait être classée comme une exoplanète de type Hycean, une catégorie émergente de planètes qui pourrait avoir des atmosphères riches en hydrogène et des surfaces recouvertes d’eau.

N’est-ce pas fascinant de découvrir de nouvelles catégories de planètes ? Nos conclusions soulignent l’importance de considérer divers environnements habitables dans la recherche de vie extraterrestre. Il est vrai que jusqu’à présent, les astronomes se sont principalement concentrés sur des planètes rocheuses plus petites, mais les mondes Hycean plus grands sont nettement plus propices aux observations atmosphériques, c’est ce que nous dit Nikku Madhusudhan. Et ces observations sont essentielles pour avancer dans notre quête de vie sur les exoplanètes et ouvrir de nouvelles perspectives – n’est-ce pas excitant ?

Le communiqué de presse mentionne une abondance de méthane et de dioxyde de carbone, et un manque d’ammoniac. Selon Nikku Madhusudhan, cela pourrait indiquer qu’il y a possiblement un océan d’eau sous une atmosphère riche en hydrogène sur K2-18 b.

D’autres observations réalisées par Webb laissent également présager la présence d’une molécule appelée sulfure de diméthyle (DMS). Sur Terre, cette molécule est principalement produite par la vie marine, notamment les phytoplanctons. Alors, on a presque envie de s’exclamer : serions-nous sur le point de trouver des signes de vie ailleurs dans l’univers ?

En fin de compte, K2-18 b est dans la zone habitable et présente des molécules contenant du carbone, mais son énorme taille suggère un intérieur dominé par de la glace à haute pression, semblable à celle de Neptune. N’est-ce pas incroyable de pouvoir déduire toutes ces choses en regardant simplement le ciel ?
Toutes ces découvertes, fruit de seulement deux observations de K2-18 b, ouvrent la voie à d’autres études et à de futures explorations du télescope spatial James Webb. Les nouvelles futures de l’astronomie s’annoncent passionnantes !