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La grande plaque de déchets du Pacifique

Par Nicolas Guillot | Publié le 19.04.2024 à 16h12 | Modifié le 19.04.2024 à 16h12 | 0 commentaire
L'équipe de SAS Ocean Phoenix, une société d'ingénierie maritime basée dans le sud de la France, veut s'attaquer au problème des déchets avec un énorme navire de nettoyage, aussi gros que le plus grand superpétrolier du monde, qui sillonnerait le Pacifique pollué.

Deux organisations ont proposé des moyens innovants pour nettoyer nos océans pollués

Dans l’océan Pacifique, de vastes courants connus sous le nom de Gyre du Pacifique Nord circulent selon un schéma circulaire entre la Californie et le Japon, tournant et retournant les détritus plastiques de notre civilisation insouciante. Les chercheurs estiment que la zone la plus polluée – la zone de déchets du Grand Pacifique – s’étend sur des milliers de kilomètres. Aujourd'hui, deux organisations ont proposé des projets ambitieux pour le nettoyer.




L'équipe de SAS Ocean Phoenix, une société d'ingénierie maritime basée dans le sud de la France, veut s'attaquer au problème des déchets avec un énorme navire de nettoyage, aussi gros que le plus grand superpétrolier du monde, qui sillonnerait le Pacifique pollué. Le bateau aspirerait l'eau de l'océan dans des chambres situées entre ses coques parallèles, où une série de filtres capteraient d'abord les gros morceaux de plastique, puis successivement les plus petits. SAS Ocean Phoenix affirme que les filtres décalés permettraient aux poissons de nager entre eux et de retourner dans l'océan, mais sa conception n'a pas encore été testée.




L'Ocean Cleanup utiliserait les courants prévisibles du gyre.  Deux barrages flottants de 30 milles de long capteraient les débris de plastique dans des tamis qui descendaient dans l'eau, et leur forme en V canaliserait naturellement les déchets vers une plate-forme centrale de collecte.

L'Ocean Cleanup utiliserait les courants prévisibles du gyre. Deux barrages flottants de 30 milles de long capteraient les débris de plastique dans des tamis qui descendaient dans l'eau, et leur forme en V canaliserait naturellement les déchets vers une plate-forme centrale de collecte. Un petit prototype de barrage est actuellement testé en mer du Nord. L'équipe du projet affirme que les poissons rebondiraient doucement sur les écrans du réseau et nageraient en dessous, mais les biologistes marins n'en sont pas si sûrs. Les barrières pourraient également piéger le plancton, ces minuscules organismes flottants qui constituent la base de la chaîne alimentaire océanique.

Cet article est paru dans l'édition de janvier/février 2017 sous le titre « Prendre à la poubelle ».

L'équipe de SAS Ocean Phoenix, une société d'ingénierie maritime basée dans le sud de la France, veut s'attaquer au problème des déchets avec un énorme navire de nettoyage, aussi gros que le plus grand superpétrolier du monde, qui sillonnerait le Pacifique pollué.

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